🛠️✨Comment naît une œuvre NoN Stereotypical ?
(De l’idée au vêtement que tu portes)
Chez NoN Stereotypical, rien n’est automatique. Chaque visuel est le fruit d’un processus artistique complet, où l’IA n’est qu’un pinceau parmi d’autres.
👉 Je ne clique pas sur un bouton : je construis, j’explore, je corrige, je superpose, je taille… jusqu’à obtenir un manifeste visuel unique.
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1. L’idéation : la graine du visuel
Tout commence par une intuition, une provocation, une envie de raconter quelque chose.
Un slogan qui percute, une image qui dérange, une scène de drague vécue dans un bar, une colère contre les diktats, très souvent, les paroles d’une chanson … Je note, je croque, je collecte.
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2. La photographie : capter la matière brute
Je réalise une séance photo dédiée ou je puise dans mon portefolio de prises sur le vif.
- Je cherche un regard, une posture, une lumière.
- Je capture un instant qui deviendra la base du visuel.
💬 La photo n’est presque jamais utilisée “telle quelle” : elle est matière première, pas produit fini.
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2. bis : créer la matière brute
Si je ne photographie pas, je génère grâce à l’IA. Contrairement à ce que tu penses, photographier est très souvent plus simple que générer une image. Je t’explique.
Quand on veut représenter ce que la société appelle “hors norme” telle qu’une personne grosse, un couple lesbien ou gay, un homme maquillé, un mec en robe : c’est l’enfer avec l’IA.
Tu passes des heures à tourner autour des biais des algorithmes, à corriger des images ratées, à reformuler pour qu’enfin la machine accepte de montrer ce que nous voyons tous les jours dans la vraie vie.
Alors qu’avec la photo, c’est immédiat : je capte le réel tel qu’il est, sans demander la permission à un logiciel formaté par la norme.
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3. Collage et retouches : transformer le réel
Une fois la photo sélectionnée, je l’adapte à ma vision :
- Je change l’arrière-plan.
- J’efface un détail ou un personnage.
- J’ajoute un élément ou une texture.
- Je restructure l’image pour préparer le travail artistique qui suit.
👉 Le réel se plie à mon intention (enfin si je persévère suffisamment).
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4. La transformation artistique : l’IA comme pinceau
Je fais passer mon collage par des outils numériques d’application de style.
- Tests, de filtres, de rendus, de techniques reconnues,
- Allers-retours multiples jusqu’à trouver la patte Non Stereotypical.
- Ajustement des contrastes, matières, saturations.
👉 L’IA n’est pas une baguette magique : c’est un atelier numérique que je pilote.
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5. Les retouches fines : sculpter l’émotion
Je reprends chaque visuel Ă la main :
- Ajustements précis pour sublimer les couleurs et la lisibilité sur textile.
- Nettoyage des imperfections.
- Finalisation du rendu pour qu’il soit percutant et fidèle à l’idée d’origine.
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6. Le test sur support : de l’écran au textile
Un visuel qui fonctionne sur écran ne donne pas toujours la même puissance sur tissu.
- Je teste lisibilité, contraste, impact visuel.
- Je pense à la réaction de la personne qui croise le vêtement dans la rue ou en soirée.
- Si ça ne percute pas, je recommence.
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7. L’impression DTF : l’étape artisanale
Une fois validé, le visuel est imprimé en DTF premium.
- Encrage spécifique pour garder la vivacité.
- Pressage manuel vĂŞtement par vĂŞtement.
- Placement réfléchi (manche, dos, bas…) selon l’intention.
Chaque pièce est ensuite numérotée et signée, car je refuse la fast fashion et les drops anonymes.
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8. Résultat : une œuvre à porter
Ă€ la fin, tu ne portes pas juste un t-shirt.
👉 Tu portes un manifeste visuel, né d’une photo, travaillé au collage, transformé par l’IA, retouché à la main, imprimé avec soin, limité en exemplaires.
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⚡ En résumé
- Une idée 💡
- Une photo 📸
- Un collage ✂️
- Une transformation IA 🎨
- Des retouches fines 🖌️
- Des tests textiles đź‘•
- Une impression artisanale 🔥
- Une pièce numérotée 🖤
Rien n’est laissé au hasard. Rien n’est “juste un clic”.
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